Bonne fête Mam !
Un joli poème pour la Fête des Mères
Maman, chère Maman,
toi qui fus si bonne avec nous,
toi qui fus si tendre avec nous,
toi qui fus si juste,
si compatissante
si aimante, si complaisante aussi,
toi qui fus une si bonne maman
toi qui sus nous protéger
toi qui sus nous habiller,
toi qui sus nous élever,
toi qui sus nous câliner,
nous calotter aussi quand il le fallait
Toi qui fus si jeune Maman
Toi qui fus nos plus belles vacances, nos plus beaux moments
nos plus belles gamelles aussi, nos plus gros chagrins également
toi qui fus le refuge, la grotte, le chauffage central
toi qui fus les bonbons, les sucreries les gauffres
le chocolat, le biftèk, les frites, les crêpes
les nouilles, les soupes, le poivre et le sel
de nos vies…
toi qui sus et qui fus…
Toi, aujourd’hui…tu n’es plus… tu n’es plus celle qui:
fut si bonne avec nous,
fut si tendre avec nous,
fut si juste,
si compatissante
si aimante, si complaisante aussi,
fut une si bonne maman
sut nous protéger
nous habiller,
nous élever,
nous câliner,
nous calotter aussi quand il le fallait
qui fut si jeune Maman
qui fut nos plus belles vacances, nos plus beaux moments
plus belles gamelles aussi, nos plus gros chagrins également
qui fut le refuge, la grotte, le chauffage central
les bonbons, les sucreries les gauffres
le chocolat, le biftèk, les frites, les crêpes
les nouilles, les soupes, le poivre et le sel...de nos vies…lalala…
qui sut et qui fut…lululu…
Toi aujourd’hui tu n’es plus qu’une pov’ vieille qui brait
une pov’ vieille qui pleure et qui se lamente et qui n’attend plus rien,
qui fait chier son monde aussi et que si nous, tes enfants, on avait des couilles et des ovaires,
on devrait étouffer avec un oreiller, ou jeter du haut des falaises, on stranguler
ou empoisonner ou jeter aux poubelles le Dimanche soir…
Et en finir une bonne fois pour toutes avec cette misère qui est une purge,
une punition pour avoir vécu si longtemps, pour avoir vécu...
Les parents, comme les enfants à naître, ou déjà nés,
on devrait les noyer avant terme pour éviter toute cette souffrance qui ne rime à rien
et qui n’engendre que la haine…
Si Dieu était bon, il nous aurait fait avec une bombe dans l’cul
pour qu’au moindre pet de lapin, ça pète pour de bon.
C’était un joli poème pour la Fête des Mères…